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Je ne m’endormirai pas
avant d’avoir étéun peu compris
par moi-même.
J’ai du travail
jusqu’à la fin
de mes jours.
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Dans le village de Mouron
on voit encore des impacts d'obus
sur la brique rouge de certaines demeures
des restes de guerre qu'on sent monter
des verres de goutte servis pour un oui
pour un non au loin un vieux tracteur poussif
ramène de l'eau dans une petite citerne en zinc
pour quelques bovins en train de lécher des blocs
de sel si blancs qu'on croirait d'énormes boules
de neige restées là depuis le dernier hiver
puis tout de suite après le ciel nuageux
devient une piste de danse pour les étourneaux
pris dans une chorégraphie que personne ne remarque
comment font-ils pour être aussi synchro?
la hauteur permet d'avoir du recul
et donc de mieux danser certainement.Extrait de Poèmes géographiques, éditions du pédalo ivre, octobre2015.
http://lepedaloivre.fr/index.php/wkd/show/poesie…
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Une nouvelle très belle note de lecture vient de paraître dans la revue Traversées. Elle est signée Lieven Callant.
Vous pouvez la lire en copiant-collant le lien suivant :
https://revue-traversees.com/2018/05/23/les-samedis-sont-au-marche-thierry-radiere-virginie-dolle-editions-les-carnets-du-dessert-de-lune-2017-52-pages-12e/
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Deux nouvelles notes concernant mon livre Les samedis sont au marché édité par les Carnet du dessert de Lune viennent de paraître.
La première est signée Balval Ekel et elle est à lire dans la revue La cause littéraire en cliquant sur le lien ci-dessous :
http://www.lacauselitteraire.fr/les-samedis-sont-au-marche-thierry-radiere-virginie-dolle
Et la deuxième a été écrite par Marilyse Leroux dans la revue Texture, A lire ici :
http://revue-texture.fr/d-un-livre-l-autre-2018.html#radiere
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